Das Gesetz der Schwerkraft
Die Bühne ist ein Theater (AT)
Meriam Bousselmi nous invite à «cracher sur Kant et Hegel» Le génie féminin genre-t-il la pratique esthétique ?
Dans son nouvel article pour PLATEFORME, la chercheuse, auteure et metteure en scène tunisienne Meriam Bousselmi se demande si l’art peut être clairement genré. Une réflexion perspicace, non dénuée d’humour, sur des stratégies séculaires d’invisibilisation systématique, sur les notions de génie masculin dans l’art et la philosophie, et sur ses propres expériences dans le contexte germano-arabe.
Meriam Bousselmi lädt uns ein, «auf Kant und Hegel zu spucken» Gendert das weibliche Genie die ästhetische Praxis?
In ihrem neuen Essay für PLATEFORME denkt die tunesische Forscherin, Autorin und Regisseurin Meriam Bousselmi darüber nach, ob Kunst klar einem Geschlecht zugeordnet werden kann. Eine scharfsinnige, nicht ganz humorfreie Reflexion über jahrhundertealte Strategien des systematischen Unsichtbarmachens, männliche Geniebegriffe in Kunst und Philosophie und ihre eigenen Erfahrungen im deutsch-arabischen Kontext.
Meriam Bousselmi à propos de l’utilisation de différentes langues sur scène La traduction comme pratique esthétique de la compl(ex)(ic)ité
Dans son dernier article, la chercheuse, auteure et metteuse en scène Meriam Bousselmi conçoit la traduction comme l’expression simultanée de la complicité et de la complexité. En s’appuyant sur différents exemples tirés de la littérature et de la pratique théâtrale, elle mène une réflexion sur les jeux de confusion entre l’original et la traduction. Meriam Bousselmi prend partie pour l’utilisation de différentes langues sur scène, et souligne en même temps les hiérarchies et les mécanismes d’exclusion. Une réflexion esthétique et politique d’une grande actualité.
Meriam Bousselmi zur Verwendung unterschiedlicher Sprachen auf der Bühne Übersetzung als ästhetische Praxis der komplexen Kompliz*innenschaft
In ihrem neuesten Essay begreift die Forscherin, Autorin und Regisseurin Meriam Bousselmi Übersetzung als gleichzeitige Äußerung von Kompliz*innenschaft und Komplexität. Anhand unterschiedlicher Beispiele aus Literatur und Theaterpraxis denkt sie über Verwirrspiele zwischen Original und Übersetzung nach, bricht eine Lanze für die Verwendung unterschiedlicher Sprachen auf der Bühne und weist zugleich auf Hierarchien und Ausschlussmechanismen hin. Eine ästhetisch-politische Reflexion, wie sie aktueller kaum sein könnte.