Faire du théâtre à Ouagadougou et le faire à Tokyo ou au fond de la Caroline du nord, c’est être en confit avec l’injustice, la mauvaise gestion politique, le rapport au pouvoir, la crise politique et économique, la religion, la médecine, l’éducation, la transmission, la spiritualité, les difficultés liées au couple, la dislocation familiale, la corruption, la jalousie, les peurs, les violences, les violences faites aux femmes, la guerre, le viol, la pédophilie, les maladies, l’immigration, les inondations, l’exploitation des uns par les autres, le pillage des richesses d’une part du monde par une autre, le néocolonialisme, la destruction de l’environnement, l’appauvrissement des sols, l’utlisation des pesticides, le réchauffement climatique, les énergies renouvelables, le terrorisme, la pauvreté, la misère, la vie, la mort etc.
Il est évident qu’il y a des questions d’ordre général et des questions spécifiques qui se posent à chacun selon où l’on habite la terre. Mais à la fin, toutes ces questions nous touchent et doivent nous toucher au nom de la mondialisation. Aucun pays ni personne n’échappera au pire. Donc finalement c’est le regard que nous posons sur le monde qui lui donne sens et fait théâtre.
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